À l’occasion des 10 ans de vue en Ville, nous avons interrogé le fondateur et directeur Jérôme Franc.

Quand et comment l’entreprise est née ?

L’entreprise est née en 2009 sur base du rachat de 2 réseaux d’affichage 40 x 60 cm : Officine Conseil, présent sur les pharmacies à l’échelon national et SPEG, présent sur tous types de commerces majoritairement dans le quart Sud-Est (Nice, Toulon, Marseille notamment).
De ces actifs, Vue en Ville n’a conservé que les panneaux qui répondaient à 2 critères :
– critère de qualité d’implantation géographique (hyper centre des grandes villes exclusivement)
– critère de qualité de positionnement : sur les commerces qualitatifs des axes de très forte et forte fréquentation
Nous avons ensuite développé le réseau sur d’autres villes, la plupart du temps à la demande de nos clients.

Pourquoi avoir voulu créer Vue en Ville ?

L’idée m’est venue de mon expérience passée dans différentes sociétés d’affichage : du grand format (4 x 3 m) chez Avenir Publicité au petit format (60 x 80 et 40 x 60 cm) chez Insert.
J’ai voulu créer une société pérenne en la spécialisant sur le format de la Culture (40 x 60) et certaines catégories d’annonceurs pour emporter à la fois l’adhésion des Mairies, des Commerçants accueillant les panneaux et du Grand public, toujours curieux de découvrir de nouveaux événements.

Qu’est-ce qui distingue Vue en Ville de la concurrence ?

– Les supports Vue en Ville sont des cadres blancs permettant de mettre en valeur chaque visuel et d’attirer l’attention des piétons
– La qualité dans le choix des implantations des panneaux et dans le nombre de panneaux présents sur une même devanture (le plus faible de la profession), pour offrir un meilleur maillage de l’hyper centre des villes
– Des sélections sur-mesure, suffisamment fines par quartier, par type d’activité de commerces de façon à offrir le meilleur ciblage possible
– Un atout majeur : derrière chacun de nos panneaux il y a un commerce et donc un commerçant sur lequel Vue en Ville s’appuie pour augmenter l’efficacité des campagnes de nos clients. Comment ? En l’invitant à l’événement annoncé sur l’affiche pour qu’il en parle autour de lui.
Une des particularités de Vue en Ville est d’offrir un service unique d’adaptation du visuel d’une campagne avec l’univers du commerce affiché. Par exemple, à l’occasion des rencontres d’Arles 2019, le magazine de photo Fisheye a été affiché prioritairement à proximité des lieux d’exposition et de la nouvelle école de photographie.

Comment votre équipe a participé au développement de Vue en Ville ?

Par le passage de la vente quantitative à la vente qualitative : mon équipe a la volonté d’offrir non seulement le meilleur service mais aussi le meilleur conseil, et de s’adapter aux demandes spécifiques de chacun de nos clients. Chaque campagne est différente, selon la cible et le périmètre souhaités, et chaque membre de l’équipe se fait un plaisir de préciser les objectifs de chacun des annonceurs avec qui il travaille.
Ce qui fait la force de l’équipe : sa complémentarité, sa polyvalence, sa capacité de conseils, son organisation et sa rigueur.

Comment voyez-vous le futur de Vue en Ville ?

Le papier est le média préféré des français et l’affichage 40 x 60 cm a toujours eu une vocation d’information culturelle, de loisirs et d’éducation.
S’il ne doit rester qu’un seul support d’affichage, ce sera celui-là, le plus à même de résister à la déferlante d’internet car il est non intrusif, au service du beau et du bon !